Publié le : Dernière Mise à jour : 26.07.2017Par : N. C.Lecture : 2 min.
« L’évaluation externe […] ne garantit pas, en l’état, l’installation, d’une part d’une démarche d’amélioration continue de la qualité des prestations […] et, d’autre part, d’un dialogue “qualitatif” avec des autorités compétentes », déplore le Groupement national des directeurs généraux d’associations du secteur éducatif, social et médico-social (GNDA), dans une contribution visant à faire évoluer le processus évaluatif des établissements et services sociaux et médico-sociaux (ESMS). Selon lui, si l’évaluation interne a permis d’entraîner « une dynamique de changement » et « l’appropriation, par les équipes, de la méthode d’évaluation continue de la qualité des prestations », ce n’est pas le cas pour l’évaluation externe. Cette dernière – à laquelle est conditionné le renouvellement de l’autorisation – relève en effet d’un « processus complexe, souvent peu lisible par les équipes », qui « ne contient pas en soi un processus d’appropriation ». En outre, elle peut aboutir « à une production de normes » lorsqu’elle est portée « par une vision de conformité » faisant « référence aux recommandations de bonnes pratiques professionnelles ».Par ailleurs, le GNDA estime que la démarche ne…
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