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Présence d’un tiers lors de l’entretien avec l’OFPRA : un droit limité, selon l’ANAFE

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Nouveauté de la loi relative à la réforme du droit d’asile du 29 juillet dernier, les demandeurs d’asile peuvent être accompagnés par un tiers – avocat ou représentant d’une association – lors de leur entretien à l’Office français de protection des réfugiés et apatrides (OFPRA). Comment ce droit va-t-il être exercé à la frontière ? C’est la question que se pose l’Association nationale d’assistance aux frontières pour les étrangers (ANAFE), qui fait partie des quelques associations déjà habilitées par l’OFPRA pour assurer cet accompagnement. Il appartient à l’office de communiquer la liste de leurs représentants à la police aux frontières. « Consciente des limites posées par la loi », l’ANAFE, qui a la particularité d’assurer, par convention avec le ministère de l’Intérieur, des permanences juridiques dans la zone d’attente de l’aéroport de Roissy-Charles-de-Gaulle, « a décidé d’accompagner des demandeurs d’asile à la frontière pendant une expérimentale de six mois à partir du 21 septembre ». Outre les limites de l’intervention du tiers – celui-ci ne peut que formuler des observations à la fin de l’entretien, consignées par l’agent de l’office (voir ce numéro, page 44) –, l’association…
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