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Lever les blocages à la GPEC dans le secteur social et médico-social

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Les bouleversements de la société rendent aujourd’hui incontournable la gestion prévisionnelle des emplois et des compétences (GPEC) dans les établissements, défend Jean-René Loubat, psychosociologue-consultant(1). Mais encore faut-il libérer les marges de manœuvre de leurs dirigeants, entravées, selon lui, par la culture administrative et les conservatismes du secteur.
« La gestion prévisionnelle des emplois et des compétences (GPEC pour les initiés) figure depuis quelque temps dans le glossaire des dirigeants des établissements et services sociaux et médico-sociaux (ESSMS). Pourtant, elle rencontre vite des limites dans un secteur largement phagocyté par une économie administrée et marqué par un corporatisme historique. Ce n’est pas une raison pour s’en désintéresser, mais bien au contraire pour en saisir les énormes enjeux pour l’avenir immédiat.Dans leur précieux ouvrage(2), Patrick Lefèvre et Yvan Mura rappellent le cursus historique de cette préoccupation qui devait passer de la planification des effectifs dans les années 1960, puis de la gestion des carrières dans les années 1970, à celle des emplois…
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