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Quand les cantines se font restaurants d’insertion

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En Ile-de-France, des restaurants sociaux sont créés en remplacement des cantines informelles dans les foyers de travailleurs migrants. Structurés en chantiers d’insertion, ils présentent une double utilité sociale : répondre aux besoins des résidents en fournissant des repas à prix modique et favoriser l’insertion professionnelle de personnes éloignées de l’emploi.
Engagé par les pouvoirs publics depuis 1997, le plan de réhabilitation des foyers de travailleurs migrants (FTM) en vue de les transformer en résidences sociales s’accompagne d’une remise en cause des cuisines collectives informelles qui s’y étaient progressivement installées depuis leur création dans les années 1950. En tant qu’activité non déclarée, s’effectuant en dehors des réglementations sanitaires et sécuritaires et aux conditions de travail précaires, ces cantines ne peuvent perdurer telles quelles. Pour autant, les supprimer reviendrait à mettre fin à un système de restauration adapté aux habitudes alimentaires et aux ressources financières des résidents. La solution ? Les légaliser sous la forme de restaurants sociaux dotés du statut d’ateliers et chantiers d’insertion…
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