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« Si tu vois quelqu’un qui a quitté son pays… »

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Loin des silhouettes anonymes des migrants de la « jungle » de Calais ou des naufragés de la Méditerranée, Visages humains propose le témoignage de 23 exilés en Belgique. Chaque récit livre une histoire de vie – des raisons du départ au trajet, du dépôt de la demande d’asile aux difficultés pour faire reconnaître les dangers vécus au pays – et se termine par un message aux sans-papiers et aux Belges. Ces raconteurs viennent de nombreuses régions du monde (Afrique subsaharienne, Maghreb, Afghanistan…). Les raisons qui les ont conduits à quitter leur pays sont diverses : Djénaba a dû fuir le Sénégal du fait de son homosexualité ; Fanta ou Aïssatou ont voulu échapper à la répression en Guinée-Conakry ; Ali, Da Abeid ou Deng Thierno Yero se sont, eux, insurgés contre la situation de discrimination terrible vécue en Mauritanie par les populations noires. Certaines figures forcent l’admiration : après avoir obtenu en Grèce le statut de réfugié, Mamadou Bah, Guinéen, s’est ainsi fortement impliqué dans l’organisation des migrants africains, au point de faire l’objet de plusieurs tentatives de meurtres de la part de militants néonazis d’Aube dorée et de devoir redemander l’asile, en Belgique…
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