L’association des intervenants sociaux en commissariat et gendarmerie voit son rôle conforté
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Publié le : Dernière Mise à jour : 02.08.2017Par : M. LB.Lecture : 2 min.
L’Association nationale d’interventions sociales en commissariat et gendarmerie (ANISCG) a signé, en juin dernier, une convention de partenariat avec le ministère de l’Intérieur. En actualisant celle de 2006 passée avec la direction générale de la police nationale, elle vise à « mettre à profit l’expérience acquise par [l’association] dans le soutien aux projets de création de postes, dans la pérennisation des postes pourvus mais également dans l’amélioration du dispositif en zone urbaine, périurbaine, rurale et ultramarine ». Alors qu’il existait près de 240 postes d’intervenants sociaux en commissariat et en gendarmerie à la fin 2014(1), l’action de l’association présidée par Pascale Dubois, directrice départementale de la sécurité publique du Val-d’Oise, est en effet « confortée par la décision du gouvernement de déployer le dispositif, de couvrir les départements qui en sont encore dépourvus », précise le document. L’ANISCG sera désormais soutenue par la direction générale de la police nationale, mais aussi par la direction générale de la gendarmerie et la préfecture de police de Paris. Nouveauté, ces deux dernières contribueront également au financement de l’association, qui bénéficiera…
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