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« Il n’y a pas de travail social sans rencontre »

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La baisse des moyens et l’inflation des procédures tendent à transformer le travail social en une prestation technique vidée de la rencontre avec l’usager. Or cette dernière en constitue le cœur de métier, la condition même de l’action, plaide Xavier Bouchereau, chef de service et consultant(1), qui invite à revenir à une pratique engagée et engageante pour les professionnels.
« Les lignes de fracture qui, depuis quelques années déjà, traversent le travail social s’aggravent aujourd’hui de manière préoccupante. Un malaise diffus s’empare de la profession. Beaucoup y voient le signe d’un manque de moyens patent. On ne peut évidemment pas ignorer l’impact des restrictions budgétaires sur les organisations et donc sur les pratiques. Il est indéniable. Pour autant, l’explication reste insuffisante. Et la question du sens mérite d’être une nouvelle fois posée. Car nos métiers se confrontent à un paradoxe inédit : d’un côté, on demande aux professionnels de soutenir, voire de régénérer un lien social décrit comme moribond, de l’autre, on réclame de leur part toujours plus de technicité, une position de recul, la capacité…
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