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« L’action d’ATD consiste à stopper le déni qui frappe les plus pauvres »

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Fondé en 1957 sous l’impulsion de Joseph Wresinski, ATD quart monde n’est pas, contrairement à une idée répandue, une organisation caritative. Son objectif premier est politique et citoyen, rappelle Bruno Tardieu, qui fut son délégué national pour la France, dans un ouvrage passionnant où il retrace à la fois l’histoire et la pensée de ce mouvement pas comme les autres.
Comment avez-vous connu ATD quart monde ?Je préparais les concours aux écoles d’ingénieurs lorsqu’un ami, en 1974, m’a proposé de l’accompagner sur un chantier d’été organisé par ATD. J’ai été très étonné d’y découvrir l’existence de la misère en France. A l’époque, on parlait surtout de la pauvreté dans le tiers monde, mais pas chez nous. Une fois mes études terminées, j’ai commencé à animer une bibliothèque de rue en tant que bénévole. Par la suite, en 1981, j’ai été volontaire permanent à ATD quart monde pendant deux ans en tant qu’objecteur de conscience. Après quoi mon épouse, qui était enseignante, a également rejoint le mouvement, et nous sommes partis comme permanents dans un quartier pauvre de New York où nous avons vécu avec nos deux premiers enfants. C’est à ce moment-là…
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