PJJ : un arrêté modifie certaines modalités d’aménagement du temps de travail
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Publié le : Dernière Mise à jour : 03.08.2017Lecture : 2 min.
Un arrêté précise les cas dans lesquels les agents de la fonction publique d’Etat des services de la protection judiciaire de la jeunesse (PJJ) peuvent recourir à des astreintes. Une période d’astreinte s’entend comme une période pendant laquelle l’agent, sans être à la disposition permanente et immédiate de son employeur, a l’obligation de demeurer à son domicile ou à proximité, afin d’être en mesure d’intervenir pour effectuer un travail au service de l’administration. La durée de cette intervention est considérée comme un temps de travail effectif.Désormais, il est possible de recourir à des astreintes pour assurer :→ la continuité éducative des mineurs pris en charge, leur sécurité ainsi que celle des agents et des biens, au sein des unités d’hébergement collectif ou diversifié ;→ l’accueil des mineurs dans le cadre de la permanence éducative et du défèrement, au sein des unités éducatives auprès du tribunal, des services éducatifs auprès du tribunal et des permanences éducatives auprès du tribunal quand elles existent au sein des unités éducatives de milieu ouvert ;→ la continuité de la prise en charge éducative des mineurs, au sein des services éducatifs en établissement pénitentiaire…
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