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Forte hausse en 2013 des dépenses liées à la pauvreté et à l’exclusion

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« Par son ampleur et sa durée, la crise financière et économique de 2008 est la plus forte subie par l’Europe depuis les années 1930 », constate la direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (DREES) dans une étude sur « Les comptes de la protection sociale en France et en Europe en 2013 »(1). Et si « les systèmes de protection sociale ont joué leur rôle traditionnel d’amortisseur en début de crise », ils peinent aujourd’hui, « de plus en plus, à jouer [ce] rôle protecteur, en particulier dans les pays les plus fortement touchés ». Ils ne sont en effet pas conçus pour une crise aussi durable qui « aggrave les inégalités entre pays et au sein même des pays ».En France, pourtant, « le déficit de la protection sociale continue de se résorber et s’élève à 7,9 milliards d’euros en 2013, soit 0,4 % du PIB », bien en dessous de celui qui a été constaté en 2012 (11,6 milliards d’euros) et, surtout, « près de trois fois inférieur au niveau record enregistré en 2010 (21,9 milliards d’euros) », poursuit la DREES, grâce à des recettes qui « progressent à un rythme plus rapide que les dépenses ». Ces ressources augmentent en effet de 3 %, pour s’établir à 707,6 milliards…
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