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Le domicile, parent pauvre des politiques de soins palliatifs, pointe l’INED

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A l’heure actuelle, seul un quart des Français (26 %) meurent chez eux. Pourtant, « lorsqu’on interroge les individus sur le lieu où ils souhaiteraient décéder, ils placent généralement le domicile en premier choix », pointe l’Institut national des études démographiques (INED) dans une enquête sur la fin de vie en France publiée le 1er juillet(1). Le document décrit les trajectoires résidentielles durant le dernier mois de l’existence des personnes de plus de 18 ans, ce qui « met en évidence les difficultés du maintien à domicile et permet de mieux comprendre les ressorts de l’hospitalisation à ce stade de la vie ».L’étude – qui vient compléter une précédente publication de l’INED sur le sujet – n’a pas pris en compte les décès soudains (un sur cinq, dont la moitié à domicile), mais ceux qui sont intervenus « à la suite d’un parcours résidentiel et médical » pouvant être retracé. Si « quatre semaines avant le décès, vivre à domicile est de loin la situation la plus fréquente » (52 % des hommes et 39 % des femmes, soit 45 % des personnes), en un mois, « la proportion de personnes hospitalisées va plus que doubler » puisque près de sept hommes sur dix et de six femmes sur dix décèdent…
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