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« Les appartements de coordination thérapeutique manquent de visibilité »

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La FNH (Fédération nationale d’hébergements)-VIH et autres pathologies a, le 25 juin, présenté le bilan de l’activité des appartements de coordination thérapeutique (ACT) en 2013(1). Ce rapport prouve la pertinence de ce dispositif, explique Léonard Nzitunga, président de la fédération, mais met en lumière le manque de places pour répondre à la demande.
Que montre votre rapport ?Réalisé sur un échantillon représentatif de 60 structures adhérentes – plus de 1 000 places soit 56 % de l’offre –, ce bilan(2) met en évidence l’efficacité des ACT, qui proposent à des malades chroniques en situation de grande fragilité sociale un hébergement temporaire avec une prise en charge médicale, psychologique et sociale. Créés dans les années 1990 pour les malades du sida, les ACT ont été ouverts aux autres pathologies par la loi 2002-2 (cancer, hépatites, diabète…). L’objectif de l’accompagnement est de faire revenir les personnes dans le droit commun. Le rapport montre que les personnes qui entrent dans le dispositif y restent entre un an et demi et deux ans (jusqu’à 27 mois en Ile-de-France) et sortent, pour près de 60 %…
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