Handicap psychique : « les progrès doivent aller plus vite »
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Publié le : Dernière Mise à jour : 14.09.2017Par : N. C.Lecture : 3 min.
Le 25 juin, l’Union nationale des amis et familles de personnes malades et/ou handicapées psychiques (Unafam) consacrait un colloque au bilan de la loi « handicap » du 11 février 2005, qui a reconnu les troubles psychiques comme un handicap à part entière. Pour Béatrice Borrel, vice-présidente de l’union, des progrès restent à faire.
Dix ans après son vote, quels sont les impacts de la loi « handicap » ?La reconnaissance de la notion de handicap psychique a permis de donner une visibilité aux difficultés liées à ces troubles et de les différencier du handicap mental. Cette visibilité nous a permis de faire part des besoins des personnes et de leurs familles. Nous sommes aujourd’hui intégrés aux groupes de travail nationaux sur le handicap et nous venons d’obtenir, pour la première fois, un poste au conseil d’administration de l’Agefiph (Fonds pour l’insertion professionnelle des personnes handicapées). La prise en compte de ce handicap dans le rapport « Le Houérou » sur l’insertion professionnelle des personnes handicapées est un signe positif(1).Quelles sont vos attentes ?Aucun outil spécifique n’existe pour définir, pour les personnes handicapées…
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