Publié le : Dernière Mise à jour : 25.08.2017Par : Maryannick Le BrisLecture : 7 min.
L’Observatoire prospectif des métiers et des qualifications de la branche associative, sanitaire, sociale et médico-sociale s’est penché sur la façon dont les employeurs et les salariés s’emparent de ce diplôme. L’enjeu : prévenir un risque de décalage entre l’offre et les besoins.
Au moment où elle connaît une stabilisation des emplois, la branche associative sanitaire, sociale et médico-sociale doit-elle craindre de former un nombre trop important de salariés au certificat d’aptitude aux fonctions d’encadrement et de responsable d’unité d’intervention (Caferuis) ? La question est sensible, le sujet de la qualification étant aujourd’hui à la fois lié à des enjeux de contenu et de financement, à la suite de la réforme de la formation professionnelle. Mais pour mettre en perspective la place de ce jeune diplôme – il a été créé en 2004 –, l’Observatoire prospectif des métiers et des qualifications de la branche s’est attaché, avec l’OPCA Unifaf, à rassembler des données objectives sur les attentes des employeurs comme des salariés, en réalisant une étude auprès de personnes ayant préparé un Caferuis entre le 1er janvier 2008 et le 31 décembre…
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