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Fin de vie : la CEDH valide la décision du Conseil d’Etat d’arrêter les soins de Vincent Lambert

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La mise en œuvre de la décision du Conseil d’Etat du 24 juin 2014 autorisant l’arrêt de l’alimentation et de l’hydratation artificielles de Vincent Lambert, tétraplégique en état végétatif, ne constitue pas une violation de l’article 2 de la Convention européenne de sauvegarde des droits de l’Homme, ont estimé les juges de la grande chambre de la Cour européenne des droits de l’Homme (CEDH) dans un arrêt définitif rendu le 5 juin. Cette décision était particulièrement attendue, tant le cas de Vincent Lambert est devenu emblématique du débat sur la fin de vie, en France, mais également en Europe. Elle intervient après une longue bataille juridique entre l’épouse et une partie de la famille de Vincent Lambert, opposées à son maintien en vie, et ses parents, qui refusent de le laisser mourir. C’est d’ailleurs à la suite d’une requête déposée par ces derniers – ainsi que par un demi-frère et une des sœurs de Vincent Lambert – que la CEDH avait, en attendant de se prononcer sur le fond, suspendu la décision du Conseil d’Etat il y a près de un an, « dans l’intérêt des parties et du bon déroulement de la procédure ».Dans son arrêt – qui n’a pas été adopté à l’unanimité (12 voix contre cinq) –,…
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