Recevoir la newsletter

Pour la Cour des comptes, la révision des champs de la CMU-C et de l’ACS apparaît « inévitable »

Article réservé aux abonnés

La Cour des comptes a rendu public, le 3 juin, un rapport sur le Fonds de financement de la protection complémentaire de la couverture universelle du risque maladie – dit « Fonds CMU » –, demandé par la commission des finances du Sénat(1). L’enquête a porté sur la couverture maladie universelle complémentaire (CMU-C) et l’aide à l’acquisition d’une couverture complémentaire santé (ACS), et a permis d’examiner l’évolution des règles d’éligibilité et du recours effectif à ces dispositifs, le niveau de protection qu’ils procurent, « ainsi que les risques qui affectent leur gestion et leur soutenabilité financière ».Un non-recours « massif »Premier constat : la CMU-C et l’ACS sont ouvertes « à une population de plus en plus en large », mais continuent à faire l’objet d’un « non-recours toujours massif ». Ainsi, si les plafonds de ressources ont été revalorisés, « dans le même temps, les pouvoirs publics ont écarté, au motif de leur coût, les propositions tendant à assurer l’effectivité des droits accordés », comme l’attribution et le renouvellement automatiques de la CMU-C aux titulaires du revenu de solidarité active (RSA) « socle » ou l’attribution automatique de l’ACS aux titulaires…
La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

Côté cour

S'abonner
Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client 01.40.05.23.15

par mail

Recruteurs

Rendez-vous sur votre espace recruteur.

Espace recruteur