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Définition des politiques publiques : des indicateurs de richesse autres que le PIB doivent désormais être utilisés

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Portée par la députée (EELV) de l’Essonne, Eva Sas, la proposition de loi visant à la prise en compte des nouveaux indicateurs de richesse dans la définition des politiques publiques a été définitivement adoptée le 2 avril par le Parlement. Jusqu’à présent, seul était utilisé le produit intérieur brut (PIB) pour la définition des politiques publiques. Or, souligne l’exposé des motifs du texte initial, cet outil connaît des limites : le PIB n’est en effet qu’« un indicateur global, qui ne prend pas en compte la répartition des nouvelles richesses créées, et donc des inégalités ». Il s’agit également d’« un indicateur quantitatif », qui « ne prend pas [non plus] en compte la qualité ou le contenu de la richesse produite », c’est-à-dire « n’évalue pas la nature des biens, services ou activités développés, et ne permet donc pas de savoir si ces biens, services ou activités sont ceux qui contribuent à l’amélioration de la qualité de vie du plus grand nombre et/ou des générations futures, et que la société souhaite voir se développer ». En outre, a expliqué l’élue de l’Essonne lors des débats à l’Assemblée nationale, il convient de compléter le PIB afin de « réintégrer des préoccupations…
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