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Pour une « bonne mort »

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« Le 30 septembre est un très beau jour pour mourir. » Mario Verstraete s’est battu pendant sept ans pour faire passer une loi. Un texte qui allait le concerner directement. En 2002, la loi sur l’euthanasie est votée en Belgique, qui devient alors, après les Pays-Bas, le deuxième pays à autoriser cette pratique. A l’âge de 39 ans, Mario Verstraete a été le premier à « mourir dans la dignité », le 30 septembre 2002. A tout jamais (Tot Altijd, en flamand) raconte l’histoire vraie de ce trentenaire atteint de la sclérose en plaques et qui « ne voulait pas vivre sa vie à moitié ». « En grec ancien, euthanasia signifie “bonne mort”. N’est-ce pas ce que tout le monde désire ? », faisait-il valoir dans les médias.En juillet 1993, ce jeune père de famille apprend qu’il souffre d’une maladie neurodégénérative. Très vite, il s’engage en tant que militant pour faire évoluer la législation sur la fin de vie. Politicien lui-même, il est entendu au Sénat pour témoigner sur le cas des personnes n’étant pas en phase terminale. A tout jamais est troublant : à une première partie pleine de gaieté – la jeunesse joviale et débridée des protagonistes –, qui laisse présager un film léger, succèdent le diagnostic…
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