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Assistant de service social, un métier mal-aimé ?

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Depuis plusieurs années, la filière de formation des assistants de service social connaît une lente érosion de ses effectifs. A la désaffection des jeunes générations pour ce métier s’ajoute l’image négative qu’en ont eux-mêmes les plus anciens. Dans les écoles de travail social, on se demande comment enrayer le désamour
Branle-bas de combat dans les milieux de la formation. Depuis le milieu des années 2000, les établissements de formation en travail social enregistrent un phénomène de désaffection de la filière d’assistant de service social (ASS). Certaines écoles ont vu le nombre de candidats se présentant aux épreuves d’admission divisé par deux, voire par trois, depuis 2005. L’ouverture de plusieurs sessions de sélection dans l’année pour maintenir le quota d’étudiants est devenue courante. « Cette tendance à la réduction des effectifs revêt aujourd’hui un caractère majeur, d’une part pour les établissements qui dispensent la formation d’ASS, d’autre part pour la profession elle-même puisque cette tendance pourrait rejaillir sur le niveau des étudiants entrant en formation », observe, dans une étude sur « Le déclin des vocations »(1),…
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