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Le plan de lutte contre la radicalisation adopté par la chancellerie (voir ASH n° 2896 du 06-02-15, page 9) suscite la désapprobation des syndicats, qui dénoncent une absence de concertation et de réflexion de fond. « Il n’est fait aucune mention de renforts pour la filière insertion et probation », pointe le Snepap (Syndicat national de l’ensemble des personnels de l’administration pénitentiaire)-FSU, seuls étant évoqués des « binômes éducateurs et psychologues », personnels contractuels devant prendre en charge les personnes « radicalisées ». L’organisation émet également « les plus grandes réserves » sur le caractère obligatoire du « module laïcité », dès la phase d’accueil du détenu. La CGT-PJJ et le collectif CGT insertion probation craignent des risques de « dérives sécuritaires » et de détournement des fondements du travail social, contestant la publication de postes au « renseignement pénitentiaire » pour la mobilité 2015 de conseillers pénitentiaires d’insertion et de probation et la création d’une unité de veille et d’information à la protection judiciaire de la jeunesse.
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