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Dix ans après la loi fondatrice de 2005, les espoirs déçus des associations

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Si la loi du 11 février 2005 a posé les piliers de la politique du handicap en France, sa mise en œuvre n’a guère été à la hauteur des ambitions affichées. A l’exception des progrès en matière de scolarisation, les associations du secteur tirent un bilan très mitigé de son application, avec un point noir, l’emploi. Revue de détails.
« Une bonne loi dans son contenu, sa philosophie et son esprit », affirme Arnaud de Broca, secrétaire général de la FNATH (Association des accidentés de la vie), qui ajoute que les associations « ont largement concouru à faire évoluer le projet initial à travers un large débat ». Votée trente ans après la loi d’orientation en faveur des personnes handicapées du 30 juin 1975, la loi du 11 février 2005 pour l’égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées – qui compte 101 articles –, et dont le chantier a été impulsé par le président Jacques Chirac en 2002, reste incontestablement « un grand texte ». Elle a ainsi posé les fondements de la politique du handicap en France avec « trois piliers fondamentaux, à savoir l’accessibilité au sens large, le droit à la compensation…
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