Recevoir la newsletter

Jeunes endoctrinés, coupables ou victimes ?

Article réservé aux abonnés

Adèle a 15 ans. Une adolescente sérieuse, sans histoires, habituée à passer un petit coup de fil à sa mère quand elle sort de cours. Ce jour-là, rien. La jeune fille ne franchira plus la porte de chez ses parents. Dans une lettre, elle explique qu’elle est partie pour la Syrie soigner les enfants blessés par Bachar el-Assad, et surtout « parce que c’est là-bas que je dois mourir pour aller au Paradis ». Les parents d’Adèle découvrent alors sa double vie : son deuxième profil Facebook, sa conversion à l’islam, son nouveau nom, Oum Hawwa, des photos d’elle presque intégralement voilée, le logo d’Al-Qaïda qu’elle affiche.Ancienne éducatrice à la protection judiciaire de la jeunesse, Dounia Bouzar est aujourd’hui anthropologue spécialiste du fait religieux et a cofondé le Centre de prévention contre les dérives sectaires liées à l’islam. Après la publication de son livre Désamorcer l’islam radical en janvier 2014, elle a été contactée par des dizaines de familles dont les enfants ont basculé dans le radicalisme et sont partis en Syrie ou ont pour projet de le faire(1). Ce sont leurs témoignages qu’elle relate dans Ils cherchent le paradis, ils ont trouvé l’enfer. La disparition d’Adèle…
La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

Culture

S'abonner
Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client 01.40.05.23.15

par mail

Recruteurs

Rendez-vous sur votre espace recruteur.

Espace recruteur