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Les travailleurs sociaux, « fantassins » de la prévention de la radicalisation ?

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Avant les dramatiques événements qui viennent de toucher la France, le travail social avait commencé à s’emparer de la question des dérives liées à l’islam radical. Certains réseaux associatifs ont déjà pris des initiatives, notamment en matière de formation, et sont prêts à les renforcer.
Observateurs sociaux, réparateurs du lien social, mais aussi passeurs de valeurs… Les travailleurs sociaux se sentent en première ligne de la prévention du radicalisme, impératif qui a violemment surgi dans la conscience collective après les attaques terroristes qui ont fait 17 morts entre le 7 et le 9 janvier. Sitôt après les assassinats perpétrés à Charlie Hebdo, et avant la vaste mobilisation citoyenne du 11 janvier, plusieurs réseaux associatifs ont été reçus au ministre de la Ville, de la Jeunesse et des Sports. « Lequel a fait un aveu d’échec et appelé à agir collectivement », rapporte Eric Riederer, coordinateur national du Comité national des acteurs de la prévention spécialisée (CNLAPS). Après le temps de l’émotion, les réseaux souhaitent en tout cas que suive celui de la réflexion. « La prévention spécialisée doit se mettre en lien avec les autres…
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