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Les accueils de jour, parents pauvres du dispositif d’accueil et d’hébergement

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Baromètres de la précarité sociale, les accueils de jour sont en première ligne dans l’accueil de publics très fragilisés, qu’ils soient sans abri ou en hébergement précaire. Ces outils de lutte contre l’exclusion, qui doivent faire face à l’explosion de la fréquentation, sont pourtant les grands oubliés des politiques publiques.
« Après l’accueil de jour, c’est la rue, autant dire que c’est un lieu vital qui permet d’abord aux personnes d’éviter le pire, ne serait-ce qu’en les aidant à reprendre des forces », observe Rachid Benferhat, directeur de territoire au sein d’Emmaüs Solidarité, qui gère une dizaine d’accueils de jour en Ile-de-France. Havres de repos, ces espaces accueillent pendant la journée, sans condition et dans le respect de leur anonymat, les personnes fragilisées et souvent isolées à la rue ou en habitat précaire. Conçus pour être chaleureux et conviviaux, ils proposent un temps de répit dans un endroit sécurisé : les personnes peuvent y passer quelques minutes, boire une boisson chaude comme y rester plusieurs heures à jouer aux cartes, lire le journal ou discuter. « Elles sont accueillies quels que soient leur passif et leur…
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