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« Faire de l’ANC-CLIC un lieu d’échanges et de réflexion »

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Lors de sa dernière assemblée générale, l’Association nationale des coordinateurs et directeurs de CLIC (ANC-CLIC) a modifié ses statuts(1). Dorénavant, les personnes physiques et morales des maisons pour l’autonomie et l’intégration des malades d’Alzheimer (MAIA), des réseaux gérontologiques, des centres communaux d’action sociale (CCAS), des fédérations… peuvent la rejoindre. Richard-Pierre Williamson, son président, explique les enjeux de cette ouverture.
Par cette modification de vos statuts, entendez-vous participer au décloisonnement des nombreux dispositifs qui ciblent les aînés ?L’ANC-CLIC, créée Il y a cinq ans, réunit déjà près de 25 % des 592 centres locaux d’information et de coordination (CLIC) du territoire. L’ouverture à des acteurs du secteur gérontologique avec lesquels nous avons un public et des partenaires communs – même si nos feuilles de route sont différentes – permettra à l’association de devenir une table d’échanges, un lieu d’expression et de réflexion et, pourquoi pas, de création d’événements communs. Il faut décloisonner ce secteur pour améliorer la qualité des aides et des soins…
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