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La réforme de la domiciliation reste au milieu du gué

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Peu connue, la domiciliation est pourtant, pour les personnes sans domicile stable, une porte d’entrée pour accéder aux droits. Simplifié par la loi « ALUR », le dispositif devrait gagner en cohérence avec la mise en place de schémas départementaux. Néanmoins, la réforme, engagée à moyens constants, ne permettra pas de désengorger les services, notamment en Ile-de-France.
Permettre à des personnes sans domicile stable de recevoir du courrier et d’accéder à des droits et prestations qui nécessitent une adresse (minima sociaux, couverture maladie, logement social, inscription sur les listes électorales, aide médicale de l’Etat [AME], procédure d’asile…) : tels sont les deux principaux objectifs de la domiciliation. « C’est un droit fondamental dans la mesure où il permet d’instruire tous les autres droits », explique Françoise Mertz, directrice adjointe du pôle « urgence » à l’association Aurore, qui gère un service de domiciliation à Paris.Ce service gratuit, mis en œuvre par des organismes agréés (principalement des associations) et par les centres communaux ou intercommunaux d’action sociale (CCAS-CIAS), est par ailleurs un moyen pour les intervenants…
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