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Empowerment, une contre-culture pour le travail social

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En une dizaine d’années, le concept nord-américain d’empowerment est devenu un enjeu majeur du travail social en France. Le développement du pouvoir d’agir des personnes, formule plus consensuelle dans l’Hexagone, ouvre la perspective d’un renouveau des pratiques participatives. Mais, selon ses promoteurs, il ne se fera pas sans remises en cause.
La pénétration rapide de l’idée anglo-saxonne d’empowerment chez les professionnels de l’intervention sociale et de la politique de la ville, principalement depuis les émeutes des banlieues de 2005, ne va pas sans quelques inconvénients. Sans équivalent en français, le terme fait l’objet d’une multitude de déclinaisons se référant à des postures idéologiques parfois radicales : capacitation, habilitation, empouvoirisation, autonomisation, activation, pouvoir d’agir… Avec le risque de devenir une notion-valise dans laquelle chacun pourrait puiser pour redorer des pratiques anciennes. « L’enjeu n’est pourtant pas négligeable, puisque de plus en plus de fonds publics sont consacrés à l’atteinte de cet objectif d’empowerment, bien qu’on ne sache toujours pas en quoi il consiste précisément ni comment…
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