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Prime d’activité : les associations ne veulent pas de perdants

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Les conditions de mise en œuvre de la fusion, au 1er janvier 2016, du RSA « activité » et de la prime pour l’emploi (PPE) pour créer une nouvelle aide aux travailleurs modestes inquiète le secteur associatif. Lors de la conférence de lutte contre les exclusions de décembre 2012, il avait souligné la nécessité d’une réforme et, dès la publication du rapport du député (PS) Christophe Sirugue en juillet 2013, soutenu ardemment ses propositions. La « prime d’activité » présentée par le gouvernement le 20 novembre (voir ce numéro, page 7) « semble dans ses grands axes proche de ces propositions », explique Bruno Grouès, coordinateur du collectif Alerte (Commission lutte contre la pauvreté de l’Uniopss). Mais nous ne connaissons pas encore les détails de sa mise en œuvre, et son financement est très préoccupant. » En effet, les montants annoncés, soit les dépenses correspondant actuellement au RSA « activité » et à la PPE (4 milliards d’euros), « ne permettront pas d’atteindre l’objectif de la réforme », poursuit Bruno Grouès. Difficile, à moyens constants, de réduire le taux de non-recours au RSA « activité » (près de 70 %, ce qui représentait en 2010 une « non-dépense » de 1,6 milliard…
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