Publié le : Dernière Mise à jour : 18.09.2017Par : Stéphane RullacLecture : 5 min.
Les professionnels doivent s’associer à la mobilisation mondiale sur le travail social pour faire valoir leurs approches, défend Stéphane Rullac, responsable du pôle « recherche » et coordinateur du CERA (Centre d’études et de recherches appliquées) pour Buc Ressources et chercheur au CEREP (Centre d’études et de recherches sur les emplois et les professionnalisations) de l’université de Reims. Cela leur permettrait aussi, selon lui, de sortir de leurs débats franco-français sur la recherche.
« Du 9 au 12 juillet 2014, Melbourne, en Australie, a accueilli la troisième Conférence mondiale conjointe du travail social, de l’éducation et du développement social(1). Cette organisation d’envergure donne l’opportunité à trois associations de réunir leurs forces afin d’ouvrir un débat sur le travail social : la Fédération internationale des travailleurs sociaux(2), l’Association internationale des écoles de travail social(3) et le Comité international d’action sociale(4). C’est ainsi que les professionnels, les écoles et les responsables des politiques du travail social échangent, débattent, communiquent et, parfois, se détendent ensemble, pendant quatre…
La suite est réservée aux abonnés
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques