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Quand l’AS se remet en question

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C’est toujours dans la ville fictive de Neuvel-sur-Treste qu’Anne Dubret, assistante de service social, poursuit ses aventures. Après nous avoir raconté, dans sa saga débutée en 2009(1), comment elle parvenait – tant bien que mal – à résoudre les problèmes de personnes atteintes de troubles mentaux, de femmes battues, d’usagers en situation de précarité ou d’enfants adoptés, elle s’attaque à un nouveau chantier avec Les vieux, faudrait pas croire ! Anne Dubret, derrière qui se cache l’auteure Agnès Andersen – assistante sociale à Mulhouse –, dresse d’abord le bilan de ce métier qui la passionne toujours autant, même si elle n’y trouve plus « la magie de ses débuts ». Où est passée la satisfaction du travail accompli, l’impression gratifiante de servir à quelque chose ? se demande-t-elle. « Aujourd’hui je ne lui trouve plus qu’une aléatoire nécessité face à l’attente des usagers, abrutis de matérialisme primaire et programmés par et pour une seule chose : le pouvoir d’achat. » C’est devant ce constat désabusé qu’elle se rend à la résidence pour personnes âgées Saint-Pierre-et-Paul, depuis peu dans son secteur. Sa directrice veut lui faire part de soucis grandissants avec des résidents…
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