Publié le : Dernière Mise à jour : 15.09.2017Par : É. V.Lecture : 2 min.
Les uns sont des personnes handicapées qui vivent en établissement et service d’aide par le travail (ESAT) et travaillent, dans la bonne humeur, dans les cuisines de la résidence. Les autres souffrent de dépendances aux substances et viennent se confier à des travailleurs sociaux souvent démunis. D’autres encore, à plus de 60 ans, vivent reclus derrière les grilles de prison depuis de nombreuses années, au point d’envisager leur libération avec une angoisse paradoxale. Quant à ces jeunes femmes roumaines, elle sont atteintes de cécité et se préparent pourtant pour un concours de beauté. Tous ces personnages sont les héros de documentaires présentés dans le cadre de la 24e édition du festival Traces de vies. Organisée par l’Institut de travail social de la région Auvergne (ITSRA) avec l’association des Amis de Traces de vies, cette manifestation présente une cinquantaine de films documentaires en compétition. Dans la catégorie « Travailler ensemble », on trouve donc L’Orange épicée, de Waldeck Weisz, qui retranscrit la joyeuse atmosphère d’un restaurant d’ESAT (photo ci-dessous) ; tandis que dans la section « Un juste regard social », on découvre La permanence, de Caroline Bonfond,…
La suite est réservée aux abonnés
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques