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La musicothérapie en quête de reconnaissance

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D’abord présente en milieu psychiatrique, la musicothérapie, qui utilise la musique dans une optique thérapeutique en direction de publics en souffrance, investit désormais les champs social et médico-social. Mais, bien que le secteur s’efforce d’encadrer ces pratiques, il n’existe pas de statut officiel du musicothérapeute, ce qui freine son développement.

« La musique est une forme de communication primitive multidimensionnelle qui, au-delà des mots, engage l’émotion mais aussi le corps et permet de renouer avec des choses très profondes », explique la musicothérapeute Cécilia Jourt-Pineau. Aussi fait-elle depuis longtemps partie des thérapies traditionnelles, en particulier pour apaiser et réguler l’humeur. Mais ce n’est qu’à partir des années 1970 que la musicothérapie, en tant que discipline particulière, s’est développée en France – d’abord par le biais de formations associatives et, depuis une quinzaine d’années, aussi dans le cadre universitaire.SORTIR DES CONFUSIONSBien qu’elle soit de mieux en mieux repérée, la musicothérapie reste l’objet de simplifications et d’amalgames : elle est, par exemple, souvent confondue avec les ateliers…
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