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Le dispositif de prise en charge des conduites addictives ne doit pas être remis en cause, estime l’IGAS

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L’inspection générale des affaires sociales (IGAS) a rendu public, le 1er octobre, le rapport de sa mission d’évaluation du dispositif médico-social de prise en charge des conduites addictives assuré par les centres de soins, d’accompagnement et de prévention en addictologie (CSAPA) et les centres d’accueil et d’accompagnement à la réduction des risques (Caarud)(1). Premier constat : « L’organisation et le fonctionnement [de ces] établissements répondent aux besoins des publics très spécifiques qui s’adressent à eux. » La mission relève cependant que « la généralisation des CSAPA n’est pas totale » : en effet, si, depuis 2007, les ex-centres spécialisés de soins aux toxicomanes (CSST) et centres de cure ambulatoire en alcoologie (CCAA) sont devenus des CSAPA, certains établissements ont conservé « leur spécialisation historique » (alcool ou usage de drogues illicites) avec des publics et des modes de prise en charge différents. « Cette spécialisation persistante ne semble pas poser de problèmes notables, en particulier dans les territoires où les établissements ont su créer des liens fonctionnels entre eux », commente l’IGAS. Elle estime par ailleurs que les rapprochements entre CSAPA…
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