L’animation, à la fois volontaire et professionnelle : un débat au cœur des rythmes scolaires
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Publié le : Dernière Mise à jour : 04.09.2017Par : M. LB.Lecture : 3 min.
La réforme des rythmes scolaires a-t-elle été l’occasion de valoriser les métiers de l’animation ? Non, estime le SEP (Syndicat de l’éducation populaire)-UNSA, qui a adressé, le 9 septembre, une lettre ouverte au ministre de la Ville, de la Jeunesse et des Sports, Patrick Kanner. « Nous vous demandons de tenir compte de ce secteur qui, dans sa globalité, compte aujourd’hui près de 800 000 salariés », écrit le syndicat.A l’origine de sa missive : la dernière réunion, le 16 juillet, du Conseil national de l’éducation populaire et de la jeunesse (CNEPJ) – instance consultative placée auprès du ministère et rassemblant des représentants de l’Etat, des collectivités locales, des syndicats de salariés et des associations –, lors de laquelle ont été présentés, dans le cadre de la réforme des rythmes scolaires, de nouveaux projets de textes réglementaires assouplissant les normes d’intervention dans les accueils collectifs de mineurs.En 2013, les taux d’encadrement avaient déjà été modifiés et un arrêté du 12 décembre 2013 avait permis, à titre transitoire, aux titulaires du brevet d’aptitude aux fonctions de directeur (BAFD) d’assurer la direction des accueils de loisirs pendant les heures…
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