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Les impensés de la réforme territoriale

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La suppression des départements n’est justifiée ni sur le plan de l’amélioration du service public, ni sur le plan économique. Selon l’option choisie – recentralisation à la région ou transfert aux intercommunalités ou aux pays –, elle risque d’aboutir à une action sociale déconnectée du terrain ou dépendante de « baronnies locales ». Plutôt qu’une simplification à l’aveugle, mieux vaut adapter l’organisation actuelle, plaide Pierre Terrasson, directeur de l’Association d’entraide multiple à Mirambeau (Charente-Maritime).
« Si l’on en croit les tenants de la nouvelle réforme territoriale à venir(1), l’objectif premier semble être de répondre à un souhait populaire (populiste ?) de réduction des échelons administratifs de notre pays avec le but déclamé de faire de substantielles économies. La précédente majorité s’était attelée au travail et l’actuelle semble vouloir l’achever. Or, si l’on regarde d’un peu plus près, et au-delà de l’effet d’annonce, on s’aperçoit que cette réforme n’est pas aussi simple à mettre en œuvre qu’on pourrait le supposer, qu’elle aura des effets induits assez mal anticipés à ce jour et surtout qu’elle ne sera pas génératrice…
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