RSA : « La pauvreté monétaire n’est pas la seule à prendre en compte »
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Publié le : Dernière Mise à jour : 27.08.2017Par : M. LB.Lecture : 3 min.
L’Agence nouvelle des solidarités actives (ANSA), pilote en France, au sein du Réseau européen des associations de lutte contre la pauvreté et l’exclusion sociale (EAPN), du projet pour un revenu minimum européen, vient de formuler 16 pistes d’amélioration pour le revenu de solidarité active (RSA). Explications de Sylvie Hanocq, responsable de projets à l’ANSA.
En quoi ce projet européen consiste-t-il ?European minimum network (EMIN) est un projet de deux ans – 2013-2014 – financé par la Commission européenne dans l’objectif de parvenir à un consensus sur les démarches à engager en faveur de la construction progressive de revenus minimaux adaptés dans tous les Etats membres(1). Ce projet s’inscrit dans les suites de la recommandation sur l’inclusion active de 2008 formulée par la Commission européenne et de la stratégie Europe 2020. En 2012, les 31 réseaux d’EAPN, ainsi que des partenaires comme la plateforme AGE et la Feantsa(2), ont remporté l’appel à projets de la Commission. Cinq pays pilotes – l’Irlande, le Danemark, la Belgique, l’Italie et la Hongrie – ont commencé les travaux en 2013. D’ici au début octobre, chaque pays impliqué devra…
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