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Des « états généraux » sans travailleurs sociaux ?

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On ne peut concevoir une refondation du travail social sans la participation effective des professionnels. Or, dans le contexte actuel, les « états généraux du travail social » risquent bien de n’être qu’une réunion nationale de concertation déconnectée du terrain, déplore David Puaud, docteur en anthropologie et éducateur spécialisé.
« Le 22 juillet dernier, à l’occasion d’une réunion du comité de pilotage des “états généraux du travail social”, Ségolène Neuville, secrétaire d’Etat chargée des personnes handicapées et de la lutte contre l’exclusion, a installé des groupes de travail thématiques(1). Cette initiative, annoncée début 2013 avec enthousiasme par le président de la République, dans la poursuite du plan pluriannuel contre la pauvreté et pour l’inclusion sociale, a déjà fait l’objet de deux reports. Ces “états généraux” visant à “refonder le travail social” devraient avoir lieu en janvier 2015. Le travail social n’avait plus fait l’objet d’un traitement depuis plus de trente ans. Cependant, comment interpréter ces différents reports liés en partie à la difficulté de faire participer les acteurs de terrain lors des assises interrégionales…
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