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« Les idées humanistes visant à réformer la prison sont absorbées dans des logiques gestionnaires et sécuritaires »

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La sociologue Yasmine Bouagga (1) souhaite apporter, dans ce courrier, des précisions à l’interview qu’elle a accordée récemment aux ASH (1) à propos de sa thèse : « Humaniser la peine ? Ethnographie du traitement pénal en maison d’arrêt ».
« Je remercie les ASH de l’intérêt qu’elles portent à mes travaux de recherche. Je tiens cependant à apporter des précisions au regard de l’interprétation erronée qui transparaît dans le titre, l’exergue et la présentation de l’entretien. En effet, à la lecture de ces éléments, on pourrait croire que ma recherche conclut à un succès des entreprises de réforme de la prison par le droit, une sorte de satisfecit que contredisent périodiquement les rapports du contrôleur général des lieux de privation de liberté, pour ne citer qu’eux. Or mon travail, partant d’un étonnement face à l’omniprésence du discours du droit en prison, s’intéressait à ce qu’il produisait dans le quotidien de la détention : des protections parfois, mais aussi un formalisme qui exclut, qui accroît la distance dans les relations entre personnels pénitentiaires et…
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