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Le projet de loi « santé » déçoit des acteurs de la psychiatrie

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La psychiatrie et la santé mentale ne feront pas l’objet de la grande loi de programmation que réclament les acteurs du secteur depuis plusieurs années, mais devront « se contenter d’un strapontin dans le véhicule de la loi de santé », déplore le Syndicat des psychiatres des hôpitaux (SPH) à la lecture du projet de loi qui doit être présenté en conseil des ministres en septembre. Ce texte prévoit de renforcer l’organisation territoriale de la santé mentale en créant des « services territoriaux en santé mentale » et d’instaurer une « mission de psychiatrie de secteur pour les établissements autorisés en psychiatrie » (1). Il prévoit que le directeur de l’agence régionale de santé désigne les établissements chargés de cette mission et détermine le territoire sur lequel ils l’exercent. Mais, loin de renforcer le secteur psychiatrique en lui donnant « une définition juridique et un financement propre », le projet de loi se limite à prévoir « l’amélioration de l’articulation du secteur psychiatrique avec ses partenaires », déplore Jean-Claude Pénochet, président du syndicat. Au final, ce projet de texte « finit de dissoudre la prise en compte des spécificités d’organisation de la psychiatrie »,…
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