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L’accueil dans la parentèle ou chez un tiers digne de confiance doit être développé, selon le défenseur des droits

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Dans le champ de la protection de l’enfance, « le recours à la parenté et aux tiers dignes de confiance paraît encore peu connu ». C’est ce qui ressort d’une étude « inédite » réalisée à la demande du défenseur des droits par Catherine Sellenet, professeur d’université en sciences de l’éducation, et Mohamed L’Houssni, directeur de l’association Rétis, service d’aide aux tiers dignes de confiance (1). Une analyse a ainsi été effectuée dans ce service auprès d’un corpus de 20 situations de placement interrogeant la désignation des tiers, le profil sociologique des aidants (membres de la parenté et tiers dignes), leur vie quotidienne et les relations parents, tiers, enfants. Objectifs: mieux connaître ce mode de placement et comprendre pourquoi il est rarement utilisé. L’étude livre également des pistes de réflexion sur les modifications à apporter au statut des aidants pour sécuriser ce mode d’accueil des enfants.Le placement chez un tiers rarement choisiBien que l’article 375-7 du code civil prévoie que, en cas de danger et si la protection de l’enfant l’exige, l’autorité judiciaire peut le confier, dans le cadre d’une mesure d’assistance éducative, à un membre de sa famille ou à un…
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