« Les plus démunis ne doivent pas rater le train du “pacte de solidarité” »
Article réservé aux abonnés
Publié le : Dernière Mise à jour : 10.08.2017Par : M.LB.Lecture : 3 min.
Véronique Fayet a, le 19 juin, été élue à la présidence du Secours catholique, à la suite de François Soulage. Entretien avec l’ancienne adjointe en charge des solidarités du maire de Bordeaux (1), qui était aussi vice-présidente de l’Union nationale des centres communaux d’action sociale depuis 2001.
Quel sens donnez-vous à votre engagement à la tête du Secours catholique ?Après 25 ans de vie politique et des fonctions qui m’ont permis d’installer un projet social structuré et durable à Bordeaux, le moment était venu de passer la main. Alors que je souhaitais m’investir dans la vie associative, le Secours catholique a estimé que mon profil correspondait à ses priorités et m’a demandé d’être pilote du navire pour un mandat de trois ans. Depuis le 23 mars, je suis libérée de mes fonctions politiques, mais mon expérience est un atout pour continuer de porter une parole forte sur la situation des plus démunis.Difficile de faire abstraction de votre affiliation politique…Je suis marquée par une image centriste, bien qu’il ne s’agisse pas d’en faire état dans mes nouvelles fonctions. La lutte contre l’exclusion transcende…
La suite est réservée aux abonnés
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques