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« Sans solutions innovantes, des épiceries solidaires risquent de fermer »

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Dans l’attente du premier versement du « crédit national des épiceries sociales », l’Association nationale de développement des épiceries sociales (ANDES) cherche des solutions pour pérenniser ses structures adhérentes. Les explications de Guillaume Bapst, son directeur.
Pourquoi les épiceries solidaires de votre réseau ne reçoivent-elles pas l’aide du Fonds européen d’aide aux plus démunis (FEAD) ?Nous nous étions battus pour préserver l’ancien Programme européen d’aide aux plus démunis (PEAD), transformé en FEAD pour la période 2014-2020 (1), mais les modalités de ce nouveau fonds ont changé: le programme impose la gratuité des produits aux usagers. Or, depuis 15 ans, les 750 associations adhérentes à l’ANDES demandent aux usagers une participation financière de 10 à 20 % du montant moyen du produit, ceci dans un souci de respect de leur dignité et de leur autonomie. En outre, les sommes tirées de cette participation symbolique participent à l’équilibre économique des épiceries. Mais nous n’avons pas eu gain de cause auprès de Bruxelles. Alors, plutôt que de changer notre fonctionnement – qui a fait ses preuves –, nous avons préféré refuser…
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