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Projet de loi « Taubira » : plaidoyers pour atteindre l’objectif de réinsertion

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Alors que le Parlement a enfin commencé à examiner le projet de réforme pénale, la question des moyens attribués aux services pénitentiaires d’insertion et de probation reste au cœur des débats.
« Avec la loi Taubira, les délinquants n’iront plus en prison. » Faux, rétorquent dix organisations associatives et de professionnels de la justice (1), réunies au sein du Collectif liberté, égalité, justice (CLEJ), dans un petit livret (2) démontant cinq idées reçues parmi les plus répandues sur le projet de loi relatif à la prévention de la récidive et à l’individualisation des peines. Une initiative qui reflète les crispations sur le texte, rebaptisé « projet de loi tendant à renforcer l’efficacité des sanctions pénales », dont l’examen a débuté le 3 juin à l’Assemblée nationale, en procédure accélérée, plus de sept mois après sa présentation en conseil des ministres (3).Après la passe d’armes qui avait opposé la garde des Sceaux à l’ancien ministre de l’Intérieur et actuel Premier ministre, le texte a de nouveau cristallisé les désaccords avant que ne commencent les débats dans l’hémicycle : en commission des lois, les députés ont, contre la position…
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