Recevoir la newsletter

Le contrôleur des lieux de privation de liberté veut améliorer le sort des détenus étrangers

Article réservé aux abonnés

Dans un avis publié au Journal officiel sur la situation des étrangers détenus dans les prisons françaises (1), le contrôleur général des lieux de privation de liberté (CGLPL), Jean-Marie Delarue – dont le mandat arrive à échéance le 13 juin – rappelle que « rien ne justifie, sauf exception, une différence de traitement » entre détenus français et étrangers, mais soutient que « l’absence de mesures spécifiques de l’administration peut engendrer, dans certaines circonstances, une rupture irrégulière de cette égalité ». La situation des étrangers détenus peut donc appeler des dispositions particulières afin « d’assurer la mise en œuvre du principe d’égalité en prison et corollairement d’éviter des conditions d’incarcération inhumaines ou dégradantes », poursuit le CGLPL. Il formule donc en ce sens plusieurs recommandations qui doivent, selon lui, « être sérieusement prises en considération ».Au 1er janvier dernier, quelque « 18,5 % des 77 883 personnes écrouées étaient de nationalité étrangère », indique Jean-Marie Delarue, en précisant cependant que l’administration pénitentiaire ne publie pas de données sur le nombre d’étrangers parmi les détenus effectivement hébergés (67 075 au début…
La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

Côté cour

S'abonner
Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client 01.40.05.23.15

par mail

Recruteurs

Rendez-vous sur votre espace recruteur.

Espace recruteur