Proposition de loi sur l’autorité parentale : la Fenamef impatiente de poursuivre le travail
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Publié le : Dernière Mise à jour : 04.08.2017Par : Eléonore VariniLecture : 2 min.
Les débats à l’Assemblée nationale sur la proposition de loi sur l’autorité parentale et l’intérêt de l’enfant ont été brutalement suspendus, le 22 mai, les députés n’ayant pu examiner le texte dans les temps face à la masse d’amendements déposés par l’opposition. Cette proposition de loi avait été déposée le 1er avril à l’Assemblée nationale par un groupe de députés PS et EELV, dans l’objectif de donner suite à une partie des travaux engagés par l’ancienne ministre Dominique Bertinotti, dont le projet de loi « famille » était resté dans les limbes au lendemain de la « Manif pour tous » (1). Si, malgré un report sine die, l’actuelle secrétaire d’Etat à la famille, Laurence Rossignol, a promis de ne pas « laisser tomber ce texte dans les oubliettes de l’obstruction parlementaire », ceux qui y voyaient des avancées déplorent un nouveau renoncement.Parmi eux, la Fenamef (Fédération nationale de la médiation et des espaces familiaux), qui avait participé à la préparation de ce texte. Selon elle, il représente une « avancée significative pour la reconnaissance des droits et des devoirs des parents et pour le bien-être de l’enfant et la recherche de son intérêt ». La fédération loue notamment…
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