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Cinq ans après le RSA, « nous avons les mêmes résultats qu’avec le RMI »

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A l’occasion des cinq ans de la réforme du RSA (revenu de solidarité active), et tandis que le gouvernement tarde à réformer le dispositif, le service Prism (Projet d’insertion sur mesure), l’une des deux structures de l’association Aurore spécialisées dans l’accompagnement des allocataires, dresse son propre bilan. Entretien avec son directeur, Jean-Marc Escurier.
Le titre de votre bilan, « Faut-il fêter l’anniversaire du RSA ? », donne le ton…La création du RSA « activité » partait d’une bonne intention, redonner un nouvel élan à l’insertion, au « I » de RMI qui ne fonctionnait pas. Rendre l’inscription à Pôle emploi obligatoire était une idée intéressante, alors qu’auparavant, les allocataires pouvaient être coupés de cette institution. Mais la réforme est arrivée en pleine crise, les agents de Pôle emploi se sont trouvés débordés, pas armés face à des publics désocialisés. Et pour ceux qui bénéficient d’un accompagnement social, le RSA « activité » est tellement complexe qu’il freine le retour à l’emploi.Les gouvernements successifs se sont pris les pieds dans le tapis avec le RMI, puis le RSA. Entre deux conceptions, celle d’un revenu minimum…
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