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« La coopération vise à collaborer avec quelqu’un même si on ne le comprend pas »

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La capacité de coopérer avec les autres fait partie intégrante de l’être humain. Mais dans un monde dominé par l’individualisme et la concurrence, ce talent si nécessaire n’est-il pas en voie d’effritement ? C’est la conviction du sociologue américain Richard Sennett, qui propose, dans un vaste ouvrage, de revivifier une éthique de la coopération en s’appuyant sur le travail pratique.
Votre dernier livre s’inscrit dans une trilogie sur l’Homo faber, entre un premier volume sur l’artisanat et un troisième à venir sur la ville. Quel lien relie ces trois ouvrages ?Au cœur de cette trilogie se trouve une interrogation sur la façon de mener une vie éthique. Son thème central est l’Homo faber, dans le sens où l’homme fabrique sa propre vie, qu’il s’agisse de ses objets, de ses relations sociales ou de son environnement, à travers des activités concrètes. Je prends au sérieux l’idée selon laquelle la société constitue une production à la fois économique, sociale et environnementale. Dans le premier ouvrage, Ce que sait la main, j’essayais de montrer comment la tête et la main sont liées et je plaidais pour que l’artisan qui se trouve en chacun de nous…
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