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« Plus qu’au millefeuille institutionnel, c’est au millefeuille des dispositifs qu’il faut s’attaquer »

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Lors de son discours de politique générale, le 8 avril, le Premier ministre annonçait la suppression des départements d’ici à 2021 (1). Ce n’est pas vraiment une surprise, selon Roland Giraud, président de l’Association nationale des directeurs d’action sociale et de santé des conseils généraux (Andass), qui s’inquiète de l’avenir des services auprès des plus fragiles.
Comment avez-vous accueilli cette annonce ?La disparition des départements n’est pas une perspective nouvelle. Depuis longtemps plane l’idée qu’ils vont disparaître. Déjà en 2004, Jean-Pierre Raffarin les avait sauvés lors de l’« acte II » de la décentralisation. A l’Andass, nous ne souhaitons pas nous exprimer sur l’avenir de ces institutions, débat qui relève du politique. En revanche, nous avons notre mot à dire sur l’avenir de nos services qui accompagnent les personnes fragiles dans les territoires.Quelles seraient les conséquences de ce projet ?Récemment, le département a été conforté dans son rôle à deux reprises. D’une part, la première loi de l’« acte III » de la décentralisation adoptée en janvier dernier (2) a confirmé les missions…
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