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La réussite des « états généraux du travail social » est indispensable

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C’est en participant aux « états généraux du travail social » que les professionnels auront une chance qu’ils soient autre chose qu’une grand-messe, défend Pierre Gauthier, ancien directeur de l’action sociale et président de l’Unaforis (Union nationale des associations de formation et de recherche en intervention sociale). Il y voit une occasion historique pour obtenir une reconnaissance et une vision politique de l’intervention sociale de demain.
« Pourquoi participer aux “états généraux du travail social” ? Et pourquoi – n’hésitons pas à le dire – souhaiter leur succès ? Ce sera le cas si l’on réussit à éviter, d’un côté, la grand-messe compassée et sans lendemain dont l’administration a le secret, de l’autre, le “happening”, et s’ils permettent, au-delà des incantations traditionnelles, un dialogue sur les vrais problèmes permettant de dessiner des orientations susceptibles d’être mises en œuvre rapidement.Cette réussite est indispensable, et possible, malgré les ambiguïtés originelles de l’opération. Des ambiguïtés, il y en a beaucoup dès le départ :→ la réduction au seul concept de “travail social” du monde multiforme et dynamique de l’intervention…
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