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L’association Sophie continue de réclamer la protection des stagiaires

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La prévention des risques professionnels encourus par les étudiants en travail social sur leurs lieux de stage pourrait-elle être un autre grand sujet de l’alternance intégrative ? L’association Sophie, créée en 1995 après le décès d’une élève éducatrice, victime d’un acte de violence lors de son stage de deuxième année, verrait en tout cas d’un bon œil que cette réflexion émerge sur le plan national.Encadrement continuAprès avoir élaboré une « charte du stagiaire » adoptée par le conseil général de Seine-Maritime et citée en 2002 par le Conseil supérieur du travail social dans son rapport « Violence et champ social », l’association avait dans la foulée rédigé un modèle de convention de stage. Selon celui-ci, l’étudiant « ne doit pas pallier l’absence d’un titulaire », doit bénéficier dès son arrivée des informations et formations relatives aux risques professionnels, et être toujours accompagné d’un professionnel ou intervenir seul à certaines conditions à partir d’un certain niveau de formation. L’association souhaiterait que tous les sites qualifiants puissent appliquer ces dispositions qui ont déjà inspiré, du moins dans leur esprit général (la notion d’encadrement continu notamment),…
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